La liberté n'est pas un cadeau.
C'est un droit.
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Soutenez celles et ceux qui sont torturés pour avoir défendu leurs libertés !
J'agis avec l'ACAT-France pour protéger et défendre les victimes dont les libertés sont bafouées
La liberté d'expression, de croire, d'aller et venir… ne sont pas des cadeaux.Vos dons, si !
Personne ne doit être privé de ses libertés fondamentales : ce sont des droits universels, et non des privilèges. Pourtant, ils sont de plus en plus en danger et sans une vigilance constante, nous pourrions en être privés à tout moment. Nous constatons déjà un dangereux recul de ces droits fondamentaux.
Le nombre de personnes vivant dans des démocraties a régressé en 2023 pour atteindre le niveau de 1985*. Aucun continent n'est épargné : entrave à la liberté d'expression en Afrique, répression contre les femmes au Moyen-Orient, persécution des minorités religieuses en Asie…
Grâce à votre générosité, plus de 350 victimes de ces violations sont soutenues par l'ACAT-France chaque année. Votre aide est indispensable, même vitale à nos frères et sœurs en humanité.
*Centre de recherche en sciences politiques V-Dem
Ensemble, Battons-nous pour leurs droits !
À travers le monde, des hommes et des femmes comme Sharifeh Mohammadi, Y Krec Bya, Wendy Galarza… prennent des risques pour nous informer, défendre nos libertés, nos droits fondamentaux, ou encore un monde digne et juste où l'on peut prier en paix.
Emprisonnés, enlevés ou même parfois tués, tous paient un lourd tribut pour leur engagement au nom de la dignité humaine.
et Pakhshan Azizi
Sharifeh Mohammadi est une défenseure des droits humains et une militante contre la peine de mort en Iran. Pakhshan Azizi est une journaliste, une travailleuse sociale et une militante kurde des droits humains. Toutes les deux ont été arrêtées en 2023. Aucune n'a pu recevoir la visite de sa famille et de son avocat. Elles ont subi des actes de torture pour obtenir des aveux forcés. Sharifeh Mohammadi et Pakhshan Azizi ont été condamnées à la peine de mort pour « rébellion armée contre l'État », l'une en raison de ses liens présumés avec le parti Komala interdit par le régime iranien, et l'autre pour appartenance présumée au Parti de la vie libre du Kurdistan.
IRAN
Condamnées
à mort pour
leur activisme
Chrétien évangéliste, Y Krec Bya fait partie de la communauté des Montagnards, une minorité chrétienne des Hauts Plateaux. Détenu une première fois de 2005 à 2011 pour avoir milité en faveur du respect de la liberté religieuse, il a de nouveau été arrêté, avec d'autres membres de son Église, alors qu'il célébrait les fêtes de Pâques. Il a été condamné à 13 ans de prison pour « sabotage de l'unité nationale ».
VIETNAM
Emprisonné
à cause
de sa religion
Le 9 novembre 2020 à Cancùn, Wendy Galarza manifestait afin de réclamer justice pour un féminicide. En tentant de fuir les violences policières, elle est capturée, violemment battue et reçoit deux balles qui auraient pu lui coûter la vie. Avec d'autres camarades de lutte, blessés comme elle lors de la manifestation, elle crée le Comité des victimes 9N pour obtenir justice pour les victimes de la violence policière et de l'usage excessif de la force. À ce jour, les responsables restent impunis et aucune personne n'a obtenu réparation.
MEXIQUE
Frappée
pour avoir manifesté
Pour ces victimes et tant d’autres, l'ACAT-France, avec le soutien de ses donateurs, agit.
Ensemble, protégeons-les !
Libertés menacées : des chiffres alarmants
Parce que nous avons refusé l'inacceptable,ils ont retrouvé la liberté
Grâce à l'engagement de l'ACAT-France et de ses donateurs, ils ont retrouvé la liberté.
Egypte - Mahmoud Hussein
Liberté de penser
Mahmoud a été libéré de prison en août 2024 après avoir été arrêté, torturé et emprisonné pour avoir porté un t-shirt où il était écrit « Une nation sans torture » lors d'une manifestation.
L'ACAT-France s'est mobilisée et a contribué à sa libération fin août 2024 !
Burundi - Floriane Irangabiye
Liberté de s'exprimer
Chroniqueuse et animatrice radio, Floriane Irangabiye a été arrêtée, emprisonnée et condamnée à 10 ans de prison en août 2022 pour avoir critiqué le gouvernement burundais lors d'une émission.
Grâce à une forte mobilisation, Floriane Irangabiye a été graciée et libérée le 16 août 2024.
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Pour les victimes,
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